Notre charte graphique

Ci-contre, les premières idées d’identité visuelle pour lesquelles nous avions opté. Nous nous étions inspirées d'un mix des couleurs d’AGAMA et de La Souterraine. Nous avions choisi d’utiliser la représentation d’un bouton “play” pour renvoyer à la compilation numérique. Les éclats du bouton qui s’envolent suggéraient les carrières des artistes en plein essor.

Quelques mois après notre première soutenance, nous avons écouté les critiques, et avons compris que cette identité était trop institutionnelle. Il y avait un décalage avec notre projet et les partenaires avec lesquels nous travaillons, notamment avec la Souterraine. La volonté de promouvoir la musique underground française était mal représentée. Alors, nous avons élaboré un nouveau logo, avec une nouvelle typographie et un nouveau nom, plus décalé, plus “underground” : Jeune veut pas se taire. Le jeu de mot avec “Je ne veux pas me taire”, résonne comme une sorte de fougue qui rappelle la jeunesse, et l’engagement musical, la passion, “j’aime ce que je fais alors pourquoi j'arrêterais ?”. Ainsi, les musiciens attirés par le projet se sentent automatiquement visés, touchés et s’identifient plus facilement à un projet qui leur ressemble. 

La typographie utilisée, “prisma”, rappelle les typographies des groupes de musique de la période disco, style musical plutôt marginalisé durant les années 1970 face au Rock’n’Roll et qui suggère la notion de musique underground, sortie des sentiers battus que nous souhaitons représenter. 

Les bandes de traits sont devenus un élément graphique à part entière. Elles s’accordent avec la police et nous les retrouvons sur toutes nos publications Instagram. Elles permettent de créer un lien visuel entre tous les musiciens sélectionnés et présentés sur notre compte Instagram. Chaque portrait est lié avec un autre, cela permet une harmonisation de notre contenu.