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Lise 

 

 

Pour ma part, ce projet m'a semblé assez familier. En effet, je connaissais les interlocuteurs AGAMA Poitiers et La Souterraine depuis le lycée. S'ils font bien parti de mon réseau professionnel désormais, notre lien était d'abord amical. Nous n’avons pas forcément cherché à trouver d'autres partenaires potentiels. De ce fait, je n'ai pas tant l'impression d'avoir été en position “professionnelle” et ni avoir mobilisé au maximum mes connaissances et compétences acquises durant mes deux années de DUT pour ce projet, ce que je trouve un peu dommage et frustrant. J'ai cependant apprécié réaliser de petites choses, comme créer la pochette de la compilation, et être interviewée chez Radio Béton. 

Au départ, nous avions pensé à un projet plutôt ambitieux, qui m'effrayait presque. Je pense que cette angoisse est restée malgré le réajustement à la baisse de nos objectifs par la suite. D'autant plus que mener un projet de A à Z à deux était un défi. D'un côté, mes échanges avec Clélia étaient assez binaires, car nous sommes plutôt sur la même longueur d'onde alors nous nous comprenions rapidement. Il n'y a jamais eu de tension entre nous, et ce travail d'équipe était agréable. D'un autre côté, il était difficile de rester toujours motivées toutes les deux. Les heures de cours dédiées aux projets tuteurés m'ont beaucoup rassurée. Une fois replongée dans notre projet, ma motivation remontait en flèche. 


Au final, l'essence de Jeune veut pas se taire, c'est-à-dire découvrir de nouveaux artistes et les accompagner m'a beaucoup plu. C'est d'ailleurs pour cela que je compte, encore plus que jamais, m'orienter vers des structures de booking, des boîtes de productions ou d'attachés de presse à l'avenir. Désormais, je pense être prête à prendre plus de risques, et oser accomplir de plus grandes choses ! 

5- Bilan personnel & professionnel

Nous tenons à remercier Berti Hanna, notre tuteur, ainsi que Delphine Clémenceau pour ses cours de gestion de projets.

Clélia 

 

Ce projet fut un challenge particulier à mener et qui a réussi à nous prouver qu’il ne faut jamais baisser les bras. On se questionne souvent sur nos performances, nos compétences, “vais-je y arriver ?”, se demande-t-on parfois. Heureusement, nous avions un tuteur, Berti Hanna, très motivant, qui a su nous remettre plusieurs fois sur la bonne voie et aujourd’hui, ce sont 10 artistes qui ont rejoint cette playlist sur laquelle nous travaillons depuis décembre 2018. Tout au long du DUT, Lise a été une très bonne coéquipière avec qui les choses ont coulé de source, malgré un démarrage difficile. 

 

Je rejoins Lise sur ce point : nos actions de communication m’ont parues plutôt légères comparées à nos compétences et connaissances acquises au cours de ce DUT. Nous n’avons peut-être pas assez pris de risque, et pourtant, nous ne pouvons pas sortir de ce diplôme totalement défaitistes. En effet, la plupart de nos missions nous ont tenu à coeur et nous avons pris du plaisir à les effectuer, ce qui est encourageant pour notre poursuite. La création de visuels et le community management ont été des missions que j’ai apprécié réaliser et m’ont donné envie de donner le meilleur de moi-même dans les futurs projets à mener.


Jeune veut pas se taire a été un projet fort qui démontre encore aujourd’hui la force et l’énergie que la culture peut représenter, et ce, malgré un contexte de pandémie, comme nous pouvons le constater par la réorganisation numérique de nombreuses institutions culturelles sur les réseaux sociaux.

 

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